La colline n’est pas laissée à l’abandon

Régulièrement la presse quotidienne se fait le relai involontaire des approximations de M. Damiot à l’encontre de la municipalité. Ce responsable associatif encarté accomplit depuis plusieurs années un véritable harcèlement à l’encontre de la municipalité, fonctionnaires compris, au nom de compétences à ce jour non établies.

Encore aujourd’hui, dans un compte-rendu de l’assemblée générale de l’APOO, Vaucluse Matin rapporte les propos erronés et diffamants de Christian Damiot prétendant que le site préservé de la colline est laissé à l’abandon et à la manœuvre des tractopelles… La DRAC appréciera !

Cela est absolument faux puisque la palissade a justement été dressée par la Ville d’Orange pour protéger les vestiges du pillage et des incivilités. Un arrêté municipal d’octobre 2016 visant à protéger le patrimoine culturel de la colline Saint-Eutrope interdit d’ailleurs tout débroussaillement et fouilles par tout particulier, association ou entreprise non habilités.
Sans autorisation, sans mandat particulier, sans titre, Christian Damiot s’était arrogé le droit d’emmener touristes et badauds jusqu’aux ruines de l’ancien château. La vérité est donc simple : vexé, ce président d’association regrette de ne plus pouvoir jouer le « guide culturel » sur un site qu’il s’est approprié sans aucune légitimité.

Nous demandons donc à cet administré indélicat de cesser de colporter de fausses informations sur le site de la colline, bientôt remis en valeur par les fouilles scientifiques et les professionnels du Patrimoine. Cette ingérence dans les affaires culturelles de l’Etat et de la Ville n’est pas bénéfique, et ces médisances d’un homme notoirement engagé dans l’opposition municipale posent la question de la finalité de son association. Défense du patrimoine ou tribune politicienne, il faut choisir.