Conférence de Laurent Obertone au Palais des Princes

La France Interdite - La Vérité sur l’Immigration

Jeudi 11 octobre, Laurent Obertone est venu à Orange présenter son livre, La France Interdite. Après sa dédicace en 2016 de son roman Guérilla, c’est une enquête fouillée et approfondie qu’il présentait cette fois afin de donner les vrais chiffres de l’immigration en France. Monsieur le maire Jacques Bompard a introduit le propos en présentant l’auteur dans le cadre des conférences anti-conformistes qui présentent des sujets de bon sens à l’inverse du prêt à penser servi habituellement.
Présentant sources et chiffres officiels, le journaliste entend ouvrir un débat depuis trop longtemps accaparé dans les médias qui veulent étouffer une partie de l’opinion publique. Alors que la majorité des Français entend remettre en cause le discours l’immigration extra-européenne massive, la caste politique et médiatique impose un discours d’ouverture incontrôlée, présentant le tout comme une chance pour la France.
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Extraits
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« Tout ce qui bouge, on le taxe ; ce qui bouge encore, on le réglemente ; ce qui ne bouge plus, on le subventionne. » Ainsi Ronald Reagan définissait l’économie administrée.
Il s’agit d’une curieuse accoutumance propre au Français, qui réclame à cor et à cri que l’Etat « paye », que l’Etat « prenne en charge », que l’Etat « redistribue », plus, toujours plus, sans que jamais ledit Français ne semble se rendre compte que cet argent devrait être dans sa poche, plutôt que dans la bouche de nos « généreux » responsables, ou dans le viseur de quelques milliers de ministères, corporations, associations, organismes, administrations, entreprises, députations, collectivités et assistés en tout genre, dont l’unique but est de s’en partager les lambeaux.
Comment ne pas comprendre les envies d’ailleurs de tant productifs ? Comment ne pas comprendre les envies d’ici de tant d’improductifs ?
Sans parler de l’implication directe dans l’accueil des migrants de divers services d’Etat, de diverses mairies ou collectivités, d’organismes officiels, tels l’Office de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), ou l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), ou la Direction générale des étrangers en France (DGEF), de la mobilisation de certains autres, tels l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa), ou les Hôpitaux de Paris (Le Figaro, le 10 octobre 2015), « l’aide aux migrants » réguliers ou non est devenu un véritable business. La seule association Coallia, qui gère la majorité des centres d’accueil et d’orientation, a touché 76 millions d’euros de subventions d’Etat en 2016. Contre 44,4 millions pour France Terre d’Asile. De telles associations sont innombrables. RESF, la Cimade, le Secours populaire, la Croix-Rouge, le GISTI, la Ligue des Droits de l’Homme, l’ASSFAM, Inter-Service des Migrants, etc., je vous épargne leurs multiples antennes locales et déclinaisons.
En 2016, l’Etat a versé 56 863 subventions, pour un montant total de 4,69 milliards d’euros (contre 2,63 milliards en 2015). Il faut y ajouter le montant colossal des commandes publiques dont elles bénéficient. En 2013, près de la moitié des ressources associatives, soit 47,2 milliards d’euros, provenaient de l’argent public (Insee, 2014).

Lien :

https://youtu.be/IDieFl5FsLo